Etape 7
Le lac Iriki



Levés
à 7 h pour contempler le lever de soleil sur les dunes. Et prendre le petit
déjeuner dehors devant ce spectacle, ça ne se raconte pas, ça se vit. En
repartant du campement, nous aurons la surprise de passer entre des étendues
d'herbes vertes, drues et frétillantes, miracle cadeau des dernières pluies de
début du mois. Même Alain et Jean-Marie n'ont jamais vu ça ici.



Autre
spectacle : les pommiers de Sodome qui poussent sauvages, entre les dunes. Ce
contraste entre le sable ocre et le vert profond de ces arbustes, c'est
superbe. Nous empruntons toujours des pistes sablonneuses en direction du lac
IRIKI et nous tombons sur une auberge, là, toute seule, une petite perle dans
cette immensité déserte. Nous récupérons le goudron une centaine de kms plus
loin. Il est 14 h et il fait 32°…



Nous
repartons après le déjeuner et le temps d'aider l'équipage 6 (Nadine et Eric) à
changer une roue (encore une crevaison, rien de vraiment étonnant en fait car
les véhicules souffrent sur les pistes marocaines) nous empruntons les pistes à
flancs de montagnes.





A chaque virages, des paysages à couper le souffle, on
devine des oasis perdues dans de petites vallées encaissées et toujours ce
contraste entre le végétal obstiné et le minéral tout-puissant..




Arrêt à l'oasis
de Finnt, si beau qu'il sert régulièrement de décor naturel au cinéma
international.

Ouarzazate est maintenant à un jet de babouche, nous arriverons
en fin d’après-midi à l’hôtel
Demain,
dernière étape, la nostalgie commence déjà à s'installer dans l’équipe.
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